Bonsoir,
merci beaucoup pour vos messages de bienvenue.
Voilà, comme expliqué, je souffre d'une myopathie, mais fort heureusement, je peux encore me déplacer sur mes 2 jambes, par contre je ne peux par courir.
C'est donc tout naturellement que les questions suivantes me viennent à l'esprit.
Les bergers belges étant des chiens sportifs, pensez-vous que le fait de ne pas pouvoir courir (pour moi, pas pour le chien je tiens à préciser) puisse avoir une incidence sur le caractère du chien ? Car ce n'est pas pour autant que mon actuel chien, un chien nu Chinois, une petite pile électrique montée sur ressort (je crois avoir bien résumé son côté speed) ne peut pas se défouler. 3X par semaine, je l'emmène en forêt pour des grandes ballades et comme il a un excellent rappel, il court à n'en plus finir, revient vers moi, repart de plus belle.
Mais comme j'ai vu que le BBT était un chien très sensible, et également proche de son maître, est-ce que vous pensez que le fait de ne pas pouvoir courir avec son maître, pourrait avoir une répercution négative sur son caractère ?
En plus des 3 leçons d'éducation hebomadaires avec Mushu (mon chien nu Chinois), pour qu'il continue à avoir des contacts avec les autres chiens, de toutes races et tailles, il a une fois par semaine des cours d'agility.
Et tous les 15 jours, 30 à 60 minutes de cours pour sa formation de chien d'assistance. La durée du cours est en fait "donnée" par le chien. Sitôt que l'on voit que le chien ne semble plus voiloir travailler ou qu'il commence à tout embrouiller, quand on lui donne des ordres bien précis, on arrête la séance sur un ordre exécuté correctement.
Vous l'aurez donc constaté, je travaille énormément avec mon chien, et je tiens à en faire de même avec le BBT. Car pour moi, un chien a besoin de se dépenser et donc, malgré mon problème de santé, je m'efforce de toujours trouver une solution.
A la lueur de ces explications, pensez-vous qu'un BBT pourrait être heureux avec le genre de vie que j'ai à lui offrir ?
J'ai attendu une année, à partir du moment où j'avais décidé d'adopter mon 1er chien, en tournant et retournant la question 1000 fois dans ma tête, au vue du fait que je ne puisse pas courir. A présent, ça fait 2 ans que j'ai mon "non-poilu" et je crois que je m'en suis pas mal tirée au final. Et j'en suis encore plus convaincue quand je regarde l'évolution, tant physique que psychique du chien, depuis le moment où je l'ai ramené de la SPA (il figuait, car j'étais la 3ème proprio alors qu'il n'avait que 13 mois !).